Vous pouvez en être sûr." Dans une succession de scènes allant crescendo commence alors une balade hallucinée, un voyage dans la violence, dont le meurtre serait l'apogée : des faits divers, des coupures de journaux, des rêves, des extraits de films "gore", des fantasmes s'entrecroisent, se sur-impriment, se chevauchent, mettant en scène des personnages à la recherche de sensations de plus en plus extrêmes. Pour lui, le corps, l'enveloppe charnelle, contiendrait tous les secrets qu'il faudrait révéler : "À la télé, j'ai vu ces criminels qui ont méthodiquement tué quelqu'un, et ils sont libres. Ces images, au lieu de le terrifier, lui font entrevoir la complexité et le mystère de ses propres désirs. À treize ans, Dennis, le narrateur, découvre une série de photographies représentant un garçon dont le corps a été incroyablement mutilé.
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